Sois toujours grave et douce, ô toi que j'idolâtre ;
Que ton humble auréole éblouisse les yeux ! at a distance. Ceux dont on parle ont eu votre âge, Mais le temps va rapidement : Comme le flot qui bat la plage, Les jours ainsi s’en vont montant. Si ce choix ne correspond pas à votre attente, utilisez notre moteur de recherche interne afin d'effectuer une recherche plus personnalisée en sélectionnant le mot : Neige, avec d'autres mots ! - Thich Nhat Hanh. Pauvre cerf ! Il a surtout écrit et écrit sur tout, souvent avec bonheur. La nature, en son sein de mère,N'a plus de lait pour le nourrir.Arsène HoussayeIl a neigéIl a neigé dans l'aube roseSi doucement neigé,Que le chaton croit rêver.C'est à peine s'il oseMarcher.Il a neigé dans l'aube roseSi doucement neigé,Que les chosesSemblent avoir changé.Et le chaton noir n'oseS'aventurer dans le verger,Se sentant soudain étrangerÀ cette blancheur où se posent,Comme pour le narguer,Des moineaux effrontés. Lorsque sa fille par la mort lui as été ravie. Merci VH. Il a neigé. Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme ! Poésie. Exposé au Salon des Artistes Français de 1885. Mais il est vrai que celui-ci est assez long (comme la plupart des poèmes de Victor Hugo que j’ai lu d’ailleurs). 5 Pages • 1912 Vues. Ces doux êtres pensifs, que la fièvre maigrit ? Tout beau texte se mérite. la terrible nuit pour les petits oiseaux !Un vent glacé frissonne et court par les allées ;Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux,Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.Dans les grands arbres nus que couvre le verglasIls sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;De leur œil inquiet ils regardent la neige,Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas.Guy de MaupassantChanson pour les enfants l’hiver, Dans la nuit de l’hivergalope un grand homme blancgalope un grand homme blancC’est un bonhomme de neigeavec une pipe en bois,un grand bonhomme de neigepoursuivi par le froidIl arrive au villageIl arrive au villagevoyant de la lumièrele voilà rassuré.Dans une petite maisonil entre sans frapperDans une petite maisonil entre sans frapperet pour se réchaufferet pour se réchauffers’assoit sur le poêle rougeet d’un coup disparaîtne laissant que sa pipeau milieu d’une flaque d’eaune laissant que sa pipeet puis son vieux chapeau…, (attention aux versions de ce poème qui traînent sur l’internet, sans les répétitions de vers, et avec une ponctuation qui n’a jamais existé), Le printemps reviendraHé oui, je sais bien qu'il fait froid,Que le ciel est tout de travers ;Je sais que ni la primevèreNi l'agneau ne sont encor là.La terre tourne ; il reviendra,Le printemps, sur son cheval vert.Que ferait le bois sans pivert,Le petit jardin sans lilas ?Oui, tout passe, même l'hiver,Je le sais par mon petit doigtQue je garde toujours en l'air…, Maurice Carême (1899-1978) - « En Sourdine » (1964). 2014 - Blog de bandes dessinées inspirées très, très librement, ou pas, de poèmes qu'il est préférable d'avoir lu au préalable. Il en a écrit de beaucoup plus long, en réalité c’est pas si long que ça. Laissez-moi !" Fais de ton amour ton flambeau. Ps: pour ceux qui trouvent sa trop long lisez Tchoupi vous verrez c’est beaucoup plus court ;p Comme cet arbre là-bas, les fleurs et les feuilles de ton âme. C'est donc un drame personnel qui a été à l'origine de l'inspiration … Huile sur toile 97DE17164/MV 7383 Un Martyr ou Le Petit marchand de violettes de Fernand Pelez Huile sur toile. De quelque ombrage obscur. « Et puis vinrent les neiges, les premières neiges de l’absence, sur les grands lés tissés du songe et du réel ; et toute peine remise aux hommes de mémoire, il y eut une fraîcheur de linge à nos tempes. Il rayonne ! (Page 3) Ne crains rien, noble femme ! Ils se savent prédestinésÀ briller plus que des planètesÀ briller doucement changés Mais crois à l’amour, ô ma vie ! Tout ce quâ on sait, tout ce quâ on croit, Tout ce que lâ on sent en soi-même. De longues robes revêtus Lisez le TOP 10 des citations de Victor Hugo pour mieux comprendre sa vie, ses … Alfred de Vigny, La neige Guy de Maupassant, Nuit de neige Jacques Prévert, Chanson pour les enfants l’hiver, Histoires. des héros Dieu trompait l’espérance Tu désertais, victoire, et le sort était las. En hiver la terre pleureEn hiver la terre pleure ;Le soleil froid, pâle et doux,Vient tard, et part de bonne heure,Ennuyé du rendez-vous.Leurs idylles sont moroses.- Soleil ! https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_compositions_by_Jules_Massenet Ceux dont on parle ont eu votre âge, Mais le temps va rapidement : Comme le flot qui bat la plage, Les jours ainsi s’en vont montant. POEME " VACHE "...AVEC " LA VACHE " de VICTOR HUGO... le Hom.art Bleu Opale, 03.L' ENVIRONNEMENT' ART..., 06.LE MOT' ART … 08 juil. - Oui. 2017 Devant la blanche ferme, où parfois vers midi . Le poème Notre vie a été écrit le jour de la mort de Nusch, sa compagne depuis 17 ans. Repost 0. je l’aurai pris s’il n’était pas aussi long. Victor HUGO a tout fait. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.Pour en savoir plus, consultez notre charte. Explorer. — Faut-il mourir ? Voici que la saison décline, L'ombre grandit, l'azur décroît, Le vent fraîchit sur la colline, L'oiseau frissonne, l'herbe a froid. Et balancent leurs ailes Poètes. 16 janv. Je suis heureux de retrouver Victor Hugo sur quelques blogs, car c'est un grand poète, que j'apprécie. Quand seul dans un ciel pâle un peuplier s’élance, Quand sous le manteau blanc qui vient de le cacher L’immobile corbeau sur l’arbre se balance, Comme la girouette au bout du long clocher ! La grande plaine est blanche, immobile et sans voix. La meilleure citation de Victor Hugo préférée des internautes. Et pendant que vous êtes sages Prenez ce livre et ces images, Ce sont des souvenirs lointains. Comme l'écume (continuer...) Catégories Victor Hugo, Amour, Condition humaine 48 commentaires À l’Arc de triomphe (extrait) II Oh ! Dans ton âme, où parfois je passe, extrait de L'Année Terrible, VIII, 1872.- À son retour d’exil en 1871, V. Hugo est témoin du siège de Paris et de la Commune, ce gouvernement révolutionnaire imposé par le peuple parisien. Ne retire rien de ton âme ! bois couronnés d’un reste de verdure ! 2007, p. 111. (Cliquez sur le lien si vous souhaitez lire l’article en entier) Un mot, un poème: la Bérézina, « Expiation », Les Châtiments, Victor Hugo, 1853.. Dans ce recueil de Victor Hugo, de nombreux poèmes sont consacrés à la critique de Napoléon III, mais certains aussi à l’éloge de Napoléon Ier (souvent d’ailleurs pour comparer le grand homme à son héritier honni par Hugo). No comments: Post a Comment. Oppose ta douceur sereine, On s’éclaire de ce qui brûle. Où mes vers chuchotent tout bas, e temps en temps sous l'ouraganUn vieux sapin geint et se couche.Guillaume Apollinaire « Alcools » - poèmes, 1898-1913, Mercure de France, 1913 et éditions Gallimard Poésie, 1971, « Et puis vinrent les neiges, les premières neiges de l’absence, sur les grands lés tissés du songe et du réel ; et toute peine remise aux hommes de mémoire, il y eut une fraîcheur de linge à nos tempes. DC Voltaire à l'âge de 41 ans, d'après Maurice Quentin-Latour, Musée Antoine Lécuyer, Wikipédia CC. " PEPITA " poème de Victor HUGO mis en musique par Alain ARMEL. Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. De plus, ce poème présente un rythme plutôt lent, ce qui nous permet de nous laisser le temps de contempler l'univers. Léopold Sedar SENGHOR, « Chants d'ombre », lalégèrecandidecapricieusetourbillonnanteouatéepoudreuseneige dont l’aimelalente lentechute*par un jour de grisaille aux vapeurs violâtresou quelquefois même (j’ai vu)par un ciel terre de Sienneellepapillonne blanc,plus blanc que les piérides blanchesqui volettent en avrilcomme fiévreusement,à moins que ce ne soit frileusementautourde rosescouleur d’âtre*météorequi touche ma manchede ratine, y posant des cristaux à six branchessous mes yeux d’étincelles*pluiedeplumesdemouettesmuettes*recouvrant la plaine déshéritéeemmantelant la forêt squelettique*épaisse, assoupissante et ensevelissante*blanche telleune belle absence de parole*blanche autant qu’absoluedans un silence d’œilqui rêve l’éternité blanche*neige neigéetellement soleilléeque d’un blanc aveuglantet brûlante ! Voici un court poème sur l'automne : Voici que la saison décline, L'ombre grandit, l'azur décroît, Le vent fraîchit sur la colline, L'oiseau frissonne, l'herbe a froid. Toute idée, humaine ou divine, Qui prend le passé pour racine A pour feuillage l'avenir. LA NEIGE. Le soleil de brume est couvert ; Choc sanglant ! Cependant, il est profond et, de ce fait, mérite d’être « ruminé ». Et chacun se berçait de la chance peu sûre. Ce poème est issu de son recueil, Les contemplations, publié en 1856. D'un bon grade à travers une bonne blessure ; A la guerre on se fait tuer pour réussir. En étoiles et enneigés Mon coeur s'ébat en odorant la rose. Ce forçat qui sur toi jette une ombre d’esclave À tous ces enfermés donnez la clef des champs ! Je viens de voir les prévisions météo et l'hiver arrive ! Victor Hugo s'appuie sur le fait que personne n'a vu ou connu l'origine de l'univers, ce qui autorise l'hypothèse ou la croyance selon laquelle l'univers est une création divine. Ce très beau poème mérite d’être lu et relu, surtout aujourd’hui où la haine l’emporte si souvent sur l’amour dans les relations humaines. –pour les peines que nous avons par vous souffertes.Émile VerhaerenEn hiverLe sol trempé se gerce aux froidures premières,La neige blanche essaime au loin ses duvets blancs,Et met, au bord des toits et des chaumes branlants,Des coussinets de laine irisés de lumières.Passent dans les champs nus les plaintes coutumières,À travers le désert des silences dolents,Où de grands corbeaux lourds abattent leurs vols lentsEt s’en viennent de faim rôder près des chaumières.Mais depuis que le ciel de gris s’était couvert,Dans la ferme riait une gaieté d’hiver,On s’assemblait en rond autour du foyer rouge,Et l’amour s’éveillait, le soir, de gars à gouge,Au bouillonnement gras et siffleur, du brassinQui grouillait, comme un ventre, en son chaudron d’airain.Émile VerhaerenLa neige à travers la brumeLa neige à travers la brumeTombe et tapisse sans bruitLe chemin creux qui conduitÀ l'église où l'on allumePour la messe de minuit.Londres sombre flambe et fume ;La chère qui s'y cuitEt la boisson qui s'ensuit !C'est Christmas et sa coutumeDe minuit jusqu'à minuit.Sur la plume et le bitume,Paris bruit et jouit.Ripaille et Plaisant déduitSur le bitume et la plumeS'exaspèrent dès minuit.Le malade en l'amertumeDe l'hospice où le poursuitUn espoir toujours détruitS'épouvante et se consumeDans le noir d'un long minuit…La cloche au son clair d'enclumeDans la cour fine qui luit,Loin du péché qui nous nuit,Nous appelle en grand costumeÀ la messe de minuit.Ce doux hiver qui égale ses joursCe doux hiver qui égale ses joursÀ un printemps, tant il est aimable,Bien qu’il soit beau, ne m’est pas agréable,J’en crains la queue, et le succès toujours.J’ai bien appris que les chaudes amours,Qui au premier vous servent une tablePleine de sucre et de mets délectable,Gardent au fruit leur amer et leurs tours.Je vois déjà les arbres qui boutonnentEn mille nœuds, et ses beautés m’étonnent,En une nuit ce printemps est glacé,Ainsi l’amour qui trop serein s’avance,Nous rit, nous ouvre une belle apparence,Est né bien tôt bien tôt effacé.Théodore Agrippa d’AubignéFrisson d’hiverLes becs de gaz sont presque clos :Chauffe mon cœur dont les sanglotsS’épanchent dans ton cœur par flots,Gretchen !Comme il te dit de mornes choses,Ce clavecin de mes névroses,Rythmant le deuil hâtif des roses,Gretchen !Prends-moi le front, prends-moi les mains,Toi, mon trésor de rêves maintsSur les juvéniles chemins,Gretchen !Quand le givre qui s’éterniseHivernalement s’harmoniseAux vieilles glaces de Venise,Gretchen !Et que nos deux gros chats persansMontrent des yeux reconnaissantsPrès de l’âtre aux feux bruissants,Gretchen !Et qu’au frisson de la veillée,S’élance en tendresse affoléeVers toi mon âme inconsolée,Gretchen !Chauffe mon cœur, dont les sanglotsS’épanchent dans ton cœur par flots.Les becs de gaz sont presque clos…Gretchen !Émile NelliganFantaisies d’hiverILe nez rouge, la face blême,Sur un pupitre de glaçons,L’Hiver exécute son thèmeDans le quatuor des saisons.Il chante d’une voix peu sûreDes airs vieillots et chevrotants ;Son pied glacé bat la mesureEt la semelle en même temps ;Et comme Haendel, dont la perruquePerdait sa farine en tremblant,Il fait envoler de sa nuqueLa neige qui la poudre à blanc.IIDans le bassin des Tuileries,Le cygne s’est pris en nageant,Et les arbres, comme aux féeries,Sont en filigrane d’argent.Les vases ont des fleurs de givre,Sous la charmille aux blancs réseaux ;Et sur la neige on voit se suivreLes pas étoilés des oiseaux.Au piédestal où, court-vêtue,Vénus coudoyait Phocion,L’Hiver a posé pour statueLa Frileuse de Clodion.IIILes femmes passent sous les arbresEn martre, hermine et menu-vair,Et les déesses, frileux marbres,Ont pris aussi l’habit d’hiver.La Vénus AnadyomèneEst en pelisse à capuchon ;Flore, que la brise malmène,Plonge ses mains dans son manchon.Et pour la saison, les bergèresDe Coysevox et de Coustou,Trouvant leurs écharpes légères,Ont des boas autour du cou.IVSur la mode ParisienneLe Nord pose ses manteaux lourds,Comme sur une AthénienneUn Scythe étendrait sa peau d’ours.Partout se mélange aux paruresDont Palmyre habille l’Hiver,Le faste russe des fourruresQue parfume le vétyver.Et le Plaisir rit dans l’alcôveQuand, au milieu des Amours nus,Des poils roux d’une bête fauveSort le torse blanc de Vénus.VSous le voile qui vous protège,Défiant les regards jaloux,Si vous sortez par cette neige,Redoutez vos pieds andalous ;La neige saisit comme un mouleL’empreinte de ce pied mignonQui, sur le tapis blanc qu’il foule,Signe, à chaque pas, votre nom.Ainsi guidé, l’époux morosePeut parvenir au nid cachéOù, de froid la joue encor rose,À l’Amour s’enlace Psyché.Théophile Gautier, Émaux et caméesLa tache blancheDure au mordant soleil, longtemps épanouieAux grands effluves lourds et tièdes du vent plat,La neige, ayant enfin fléchi, perdu l'éclat,Venait de consommer sa fonte sous la pluie.L'espace détendu ! « Première neige tôt ce matin. pour mes regards moroses,Avides de revoir le vieil aspect des choses,Tout surgissait nouveau du sol désengouffré.Soudain, au creux d'un ravin noir,Un soupçon de neige fit voirSa tache pâle, si peureuseQue je me figurai, songeur,Un dernier frisson de blancheurAu fond d'une âme ténébreuse !Maurice RollinatLe premier givreL'hiver est sorti de sa tombe,Son linceul blanchit le vallon ; Le dernier feuillage qui tombeEst balayé par l'aquilon.Nichés dans le tronc d'un vieux saule,Les hiboux aiguisent leur bec ; Le bûcheron sur son épauleEmporte un fagot de bois sec.La linotte a fui l'aubépine,Le merle n'a plus un rameau ; Le moineau va crier famineDevant les vitres du hameau.Le givre que sème la biseArgente les bords du chemin ; À l'horizon la nue est grise : C'est de la neige pour demain.Une femme de triste mineS'agenouille seule au lavoir ; Un troupeau frileux s'achemineEn ruminant vers l'abreuvoir.Dans cette agreste solitude,La mère, agitant son fuseau,Regarde avec inquiétudeL'enfant qui dort dans le berceau.Par ses croassements funèbresLe corbeau vient semer l'effroi,Le temps passe dans les ténèbres,Le pauvre a faim, le pauvre a froidEt la bise, encor plus amère,Souffle la mort. Le texte proposé « L’expiation » est un poème extrait du recueil Les Châtiments de Victor Hugo. A mes frères aînés, écoliers éblouis, Ce qui suit fut conté par mon oncle ... D'hommes sur qui la bombe, ainsi qu'une cognée, Va s'acharner ; et j'eusse aimé mieux être ailleurs. mais garde ton courage. Victor Hugo (inscription complète sur son acte de naissance : Victor, Marie Hugo1), né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai. Poème La Statue de Victor Hugo. Le mot – Victor Hugo Tout peut sortir d’un mot qu’en passant vous perdîtes ; TOUT, la haine et le deuil ! La longueur ne fait rien à l’affaire. Sabrina, Virginie et Hugues - CM2 février 2001 - La neige emplit le noir sillon. Et l’indulgence pour autrui, Laisse chaque chose à sa place. Comme des astrologues Seigneur, vous avez visité Paris par ce jour de votre naissanceParce qu’il devenait mesquin et mauvaisVous l’avez purifié par le froid incorruptiblePar la mort blanche.Ce matin, jusqu’aux cheminées d’usines qui chantent à l’unissonArborant des draps blancs- « Paix aux Hommes de bonne volonté ! Dure au mordant soleil, longtemps épanouie, » - poèmes, 1898-1913, Mercure de France, 1913 et éditions Gallimard Poésie, 1971. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies. La haine souffle sur ta joie. 5 déc. Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine, Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons, La pâle mort mêlait les sombres bataillons. Citation hiver ☃ Le froid arrive, c'est l'hiver qui débute avec les fêtes de Noël. Doute du bonheur, fruit mortel ; Au vent des soirs d'automneOu bien graves magiciensIncantent le ciel quand il tonneDes rangées de blancs chérubinsRemplacent l'hiver les sapins Dessiner le monde, dessiner des mots. 9 avr. Seigneur, vous avez visité Paris par ce jour de votre naissance. Commentaire littéraire I. je pleure et je m’arrête, hélas ! Garde ton sourire vainqueur ; Masque de neige sur la terre et sous la terre Sources des larmes dans la nuit masque d'aveugle Mon passé se dissout je fais place au silence. Et la vierge aux yeux bleus, sur la souple ottomane, Dans ses bras parfumés te berçait mollement ; De la fille de roi jusqu'à la paysanne Tu ne méprisais rien, même la courtisane, Le poème s'ouvre sur deux exclamations pleines de vie, par lesquelles le poète semble réclamer une solitude propice à la rêverie : "Oh ! Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Aux longues branches langoureusesLes sapins beaux musiciensChantent des noëls anciens Par cet apprentissage, les élèves se confrontent à de nouvelles tournures de phrases qui les … C'est ton propre flambeau que tu viens de souffler ! Chaque citation exprime les opinions de son auteur et ne saurait engager Dicocitations. rendu boueux par la pluie, ou pris sous une couche de neige glacée. Victor Hugo En hiver la terre pleure Léopold Sedar SENGHOR, Neige sur Paris, « Chants d'ombre » Henri Pichette, Ode à la neige, Odes à chacun Anne Hébert, Neige, Mystère de la parole Car ces derniers soldats de la dernière guerre Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre, Chassé vin… Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *. « Poésie », 1960, p. 188. Car la science en l'homme arrive la première. Découvrez vos propres épingles sur Pinterest et enregistrez-les. L'hiverL'hiver, s'il tombe de la neige,Le chien blanc a l'air beige.Les arbres seront bientôt touffusComme dans l'été qui n'est plus.Les oiseaux marquent les alléesAvec leurs pattes étoilées.Aussitôt qu'il fait assez jour,Dans le jardin bien vite on court.Notre maman nous emmitoufle,Même au soleil, la bise souffle.Pour faire un grand bonhomme blanc,Tout le monde prend son élan.Après ça, bataille de neige !
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